#StopHypo L’HYPOGLYCÉMIE VOS TÉMOIGNAGES

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« L’hypo en un mot c’est galère, elle intervient n’importe quand, elle n’a pas de créneau horaire. »
Elise, 38 ans.
« L’hypoglycémie pour moi est sans aucun doute la plus grande de mes hantises, car cela a un impact phénoménal sur mon quotidien et sur ma qualité de vie. »
Béatrice, 45 ans.
« La difficulté des hypo c’est les sensations de jambes molles, les tremblements, la difficulté à parler et à penser, la confusion… »
Laura, 60 ans.
« Les signes de l’hypo sont très désagréables : palpitations cardiaques, on a l’impression que le cœur va sortir de la cage thoracique »
Margaux, 34 ans.
« Les hypo sont assez handicapantes, notre comportement change, on est excité, on ne se sent pas bien [...] c’est très fatigant et dur à gérer. »
Léna, 31 ans.
« Je me suis retrouvé dans des situations où mon épouse m’a attrapé juste avant que je parte travailler, petit détail, j’avais juste oublié de m’habiller [...]
Bruno, 50 ans.
« Les hypoglycémies sont très handicapantes, car il faut arrêter toute activité, attendre, se reposer et faire que les sucres agissent. »
Julie, 35 ans.
« Mon fils a tendance à faire des hypo nocturnes, c’est très angoissant, cela demande une vigilance quasi permanente, donc des nuits très courtes. »
Anna, 47 ans.
«Pas si simple. Au repos, je gère, verre d’eau et sucre et contrôle de la glycémie»
Robert, 61 ans.
«Quand j’étais sous aiguille, une hypo me déclenchait une crise de nerfs, des pleurs ingérables»
Evelyne, 59 ans.
«Lorsque je suis en hypoglycémie, je commence à ressentir une très grosse fatigue, une masse sur moi»
Christine, 59 ans.
«Donc oui l’hypo pour les intimes, arrive toujours à un moment critique de notre vie de diabétique»
Constant, 36 ans.
«L'hypoglycémie est très dangereuse surtout quand il n’y a pas d’effets secondaires»
Frederic, 66 ans.
«Bonjour moi j’ai un diabète de choc lorsque mon fils s’est tué en moto»
Claudine, 57 ans.
«L’hypoglycémie où l’enfer qui me transformerait en boulimique...»
Marine, 28 ans.
«Alors la fatigue s’accumule et la patience diminue, donc quand vous êtes animatrice ce n’est pas le top»
Juliette, 18 ans.
«Certain les craigne, il ne le faut pas, car sinon, cela devient une obsession génératrice de stress et donc d’hypo ou d’hyper»
Anthony, 44 ans.
«Au début quand j’étais petite je les ressentais facilement j'étais fatigué et je tremblais»
Eloîse, 16 ans
«Lorsque les enseignants remarquent les symptômes d’une hypoglycémie certains s’inquiètent, d’autres regardent juste ce qu’il se passe...»
Manon, 18 ans
«Moi j’ai toujours peur que mon compagnon fasse une grosse hypo quand il est seul avec notre bébé»
Lisa, 22 ans
«L’hypoglycémie c’est perdre la raison. C’est sentir toutes nos forces nous quitter»
Sarah, 24 ans
«Bonsoir 24 ans de diabète derrière moi et énormément d’hypos...»
Guillaume, 35 ans
«Je suis D.I.D (très, très instable) et d’origine génétique, car mon frère a eu la maladie au même âge que moi, c’est à dire 28 ans»
José, 53 ans
«Je suis maman de Romain 9 ans diabétique de type 1 depuis bientôt 2 ans»
Laurence, 49 ans
«Le plus dur c’est au début, quand on commence à comprendre la maladie, les hypos surprises »
Mathieu, 39 ans
«C’est la maman qui parle et qui vit dans le stress de l’hypo et du malaise avec perte de connaissance et convulsions»
Angéle, 11 ans
«Pour moi une hypo ça équivaut à une mauvaise nuit, c’est se réveiller, car mon corps est en manque de sucre»
Marco, 23 ans
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